Nos évènements à venir
Music Festival @ Les Ecuries Edition 2024:
Le festival @ Les Ecuries promet d'être une expérience musicale inoubliable, célébrant la diversité et la richesse de la musique française et brésilienne. Ne manquez pas cette occasion unique de découvrir des artistes talentueux et de vous laisser emporter par des mélodies envoûtantes.
Vendredi 30 août 2024
1ère partie (20h-21h) : Greg Houben « un Belge à Rio » accompagné de RodaRio
C'est en bourlinguant à travers le monde que Greg Houben puise son inspiration et décide de s'emparer de la langue française pour l'habiller de ses mélodies fortes et sans frontière. Il enregistre son premier album de chanson à Copacabana ! Un disque délicieux, rempli de joie de vivre. Si l’on décèle chez Greg des fragments de Mathieu Boogaerts, de Louis Chedid ou encore de Chet Baker, on lui remarquera une singularité attachante et une manière élégante et chaloupée de raconter sa propre histoire.
Pour le festival aux Ecuries, Greg sera entouré de ses amis brésiliens.
2e partie (àpde 21h30) : "Roda de samba" par RodaRio !
RodaRio" est un groupe unique de musique brésilienne. Basé en Belgique, ce groupe est connu par les aficionados comme étant « le » groupe de Samba de la capitale, celui qui est le plus fidèle à la tradition brésilienne des « Rodas de samba ». Dans une atmosphère authentique exactement comme à Rio de Janeiro, autour d’une table, les musiciens jouent la crème du répertoire brésilien. Du chorinho, de la Samba, du Partido Alto... Le public se sent tout à coup transporté dans le plus grand pays d'Amérique du Sud grâce à la puissance et à la richesse de cette musique. Impossible de rester assis, vos pieds vous démangent…
Venez faire la fête!
Samedi 31 août 2024 (20h-21h30)
TERRASSON – BELMONDO
Jacky Terrasson et Stéphane Belmondo étaient faits pour se rencontrer.
D’un côté, le pianiste de 52 ans qui a étudié à Berklee, a longtemps résidé aux Etats-Unis où il a croisé nombre de musiciens américains, tels Jesse Davis, Wallace Roney, Javon Jackson, Eddie Harris ou Cindy Blackman. Il a aussi formé un solide trio avec le batteur Leon Parker et le contrebassiste Ugonna Okegwo (albums “Reach” et “Lover Man”).
De l’autre, le trompettiste de 50 ans qui a étudié aux Conservatoires d’Aix et Marseille, formé un quintet avec son frère Lionel (albums “Infinity live”, “Hymne au soleil” et “Influence” avec Youssef Lateef en invité), a croisé Chet au New Morning (d’où son album hommage “Love for Chet” chroniqué sur jazzaroundmag), a fait partie du big band Lumière de Laurent Cugny (“Yesternow”) et croisé la crème des pianistes français : René Urtreger, Maurice Vander, Alain Jean-Marie, Michel Graillier et notre Eric Legnini national (“Wonderland”).
Les voici réunis pour un duo intimiste tout en complicité empathique, comme l’ont fait, avant eux, Chet Baker avec Paul Bley, Enrico Rava avec Stefano Bollani, Kenny Wheeler avec John Taylor, Paolo Fresu avec Uri Caine ou Martial Solal avec Dave Douglas.
Pour ce “Mother”, 14 titres, trois compositions de Terrasson (Hand in hand, Mother, Fun Keys), une de Belmondo (Souvenirs), deux courtes compo-impros (Pic Saint-Loup, Pompignan), des classiques (Lover Man, In Your Own Sweet Way de Brubeck, You Don’t Know What Love Is et, pour débuter sur une note gorgée d’émotion le First Song de Charlie Haden, qui fut immortalisé tant par Chet que par Stan Getz), deux musiques de film (Les Valseuses de Grappelli et la très belle Chanson d’Hélène composée par Philipe Sarde pour Les Choses de la vie, une mélodie reprise sur “Love for Chet”, mais aussi par Phil Abraham sur l’album “Fredaines”), enfin deux chansons au tempo revisité (You Are The Sunshine Of My Life de Stevie Wonder et Que reste-t-il de nos amours de Trenet).
Au total, un répertoire tout en douce nostalgie (First Song, La chanson d’Hélène). Une complicité naturelle entre, d’une part, le piano de Terrasson, tantôt lyrique (Mother), tantôt bluesy (Fun Keys) et, de l’autre, le bugle à la sonorité de velours (First Song, La chanson d’Hélène, Mother, Souvenirs), la trompette bouchée (Hand In Hand, In Your Own Sweet Way, Les Valseuse, You Don’t Knout What Love Is) ou non de Stéphane Belmondo.
Dimanche 1er septembre 2024 (15h)
Quatuor mené par Sébastien Walnier & Ronald Vanspaendonck
Haydn (les derniers quatuors) & Quintet de Brahms
Ronald Van Spaendonck est considéré comme l'un des meilleurs clarinettistes de sa génération. Ses professeurs furent Léon Jacot, Walter Boeykens, Anthony Pay (Londres) et Karl Leister (Berlin). BBC New Generation Artist 2000, il est invité à se produire avec plusieurs orchestres du Royaume Uni aux PROMS, au Wigmore Hall de Londres Hall et au prestigieux Festival International de Musique d'Edimbourg.
Il a joué dans les plus grandes salles du monde avec entre autres l’Orchestre de Chambre de Wallonie, l' Orchestre de Liège, Het Brabants Orkest, l'Orchestre National de Belgique, l’Orchestre de Porto, le National de France, Les violons du Roy, l’Orchestre de Oulu en Finlande, le Symphonique de Zürich, le Philharmonique du Luxembourg, das Deutsches Symphonie Orchester Berlin, le Simon Bolivar au Venezuela et celui de Sao Paulo au Brésil.
Comme pédagogue, il enseigne la clarinette au Conservatoire Royal de Bruxelles, à Arts2 de Mons, à l’Ecole Normale de Musique de Paris (Alfred Cortot) et à la Musica Mundi School de Waterloo. Il est également Professeur « Honoris Causa » au Conservatoire de Guangzhou (Chine).Ronald Van Spaendonck est depuis 2016 Directeur artistique du festival musical de Lasne. En 2006, en compagnie de la harpiste Sophie Hallynck, de la violoncelliste Marie Hallynck et du pianiste Muhiddin Dürrüoglu, il fonde l’Ensemble Kheops, ensemble à géométrie variable.
En 2001, il est lauréat du “JAL Classic Special New Artist Serie” et est invité pour une série de concerts au Suntory Hall de Tokyo et dans les plus grandes salles du Japon.
Ses partenaires de musique de chambre incluent les quatuors Skampa, Ysaye, Belcea, Szymanowski, Aviv, Modigliani, the Royal string quartet et Ebène, les pianistes Alexandre Tharaud, Johan Schmidt, Frank Braley et Muhiddin Dürrüoglu, les violonistes Gidon Kremer, Renaud Capuçon, Graf Mourja, Lisa Batiashvili et Ning Kam, les altistes Gérard Caussé, Lise Berthaud, Lawrence Power et Antoine Tamestit, les violoncellistes Marie Hallynck, Mischa Maisky, Marc Coppey, Peter Whispelway, Alban Gerhardt, Jean-Guihen Queyras, les flûtistes Emmanuel Pahud, Marc Grauwels, Gaby Van Riet, Aldo Baerten et bien d'autres.
De nombreuses récompenses internationales lui ont été attribuées : Lauréat de l'European Youth Competition à Zürich, Premier prix du Concours International TROMP à Eindhoven, Premier prix du Concours International de Dos Hermanas (Séville) et Premier prix du Concours International pour Instruments à Vent A.Gi. Mus à Rome. Il est également lauréat « Juventus » (1991), « Rising star » (1998), prix «Fuga» (2014) et la Commission du Patrimoine du Conservatoire Royal de Bruxelles lui décerne en 2018 le prix DARCHE FRERES réservé à un musicien dont toute la vie est consacrée avec honneur et dévouement au service de l’art musical.
Sébastien Walnier a commencé très tôt le violoncelle avec Laurent Chantraine. Il obtient son premier prix au Conservatoire Royal de Liège à de 13 ans, et ses diplômes supérieurs de violoncelle et de musique de chambre 4 ans plus tard. Il se passionne particulièrement pour le répertoire du trio avec piano, fonde le Trio Talweg aux côtés d'Alexander Gurning (piano) et Sébastien Surel (violon) en 2004, et parcourt les festivals avec ce trio pendant 10 ans. Il a reçu le prix de «Musicien de l’année 2012» de l’Union de la Presse Musicale Belge. Sébastien Walnier est également est violoncelliste solo à l’orchestre du Théâtre Royal de la Monnaie
Our past events
What makes a show unforgettable? The set, the performers, but above all the emotions it brings. A lot of work has gone into this show, and we're delighted it's coming to the stage. Book your ticket today to make sure you don't miss out.